Sunday, May 28, 2006

SALITA SA INQUIRER

Sa isang barber shop sa Naga una kong nakita ito.

http://news.inq7.net/sunday/index.php?index=1&story_id=77276

Tuesday, May 16, 2006

SEMINARY IS IN THE HEART
Kristian S. Cordero

The longer I stay outside of the seminary, the more I come to realize that not all remembering is useful to life. The mind has its way to sort out what memories to keep, what to let go and what to forget. The heart, on the other hand, validates our emotional attachments to the tapestry of experiences we have carefully and carelessly weaved through the years. It is the heart that tells us whether we have already moved on and accept our irreplaceable fate or we are still haunted by the past. Sometimes memory is too painful that forgetting becomes a blessing. But how could I forget the seminary and the many people I have encountered whose friendship I still enjoy and cherish. Is not forgetting a painful reality too? Or is it only my mind that tries to forget while my heart still holds to my past that is the seminary.
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When I started with my formation I was introduced to other young men who from that time on I should learn to address us brothers. It was obligatory. It was mandated as if by our fate and faith. Young men whom I had never seen in my childish dreams and yet all of sudden, they were there right before my eyes.

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As of this year, only few have continued their formation. After philosophy, others have filed an indefinite leave from the seminary while most of us have decided to go out for good. They got their first jobs and now enjoy the consolation of their first hard-earned and minimal salaries. Two landed in a call center, I was told. One got hired in Dubai. One transferred to a religious community while one is serving his regency. Two are taking up law studies and one is now a “father” to a little girl. Some are nowhere to be found. I, on the other hand, have continued to weave my own dreams.

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I believe that even if we are now sundered by the same place that had united us eight years ago—every one of us— still carries in his heart the memory of the seminary. Our hearts continuously undergo formation. Formation is endless because our hearts know no time and space. Human heart is capable of defying constricted rules. Seminary is in the heart. Saint Augustine expressed it in his Confession that the heart is restless until it rest unto God. We may have wandered while some have stayed and yet all roads lead to that same place and for as long as we keep the memory of home, we will always find ourselves at its doorsteps.
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When I left the seminary I thought it would be the end of everything. I was in pain. Every one was like a nick of razor that adds to my long history of bleeding. I tried to forget. I tried to forget the very color and type of t-shirts and polo dress they wore, their favorite bath soaps (Armand’s Heno de Pravia, Enrico’s Safeguard or Zest or Toni Joe’s Dr. Wong Sulfur Soap), favorite hang-outs (New China, STI, Niño Mirandilla’s House, Sañgay, Pasacao) fast foods (Kinalas, what else?), their mannerisms, their trademarks, our photographs, our stories, our songs, our secrets. But somehow, I could not but go back to my first initial experience of acceptance, of support, of friendship and even of love—so that as I continue my life outside of the structures, I could begin a new one at least with self-respect. I could continue this formation life is offering to me. Now that I am living my life outside of the seminary I have come to believe that it is not the seminary that makes us, it is not the seminary that forms us, rather it is the people who passed by, lived together in this place and made it their home— that allows the seminary to have a real and indelible mark in every one’s heart.

I have always treasured my memories of this place and the persons I had encountered. And even though I have taken another path, I always believe that this journey we have taken is always home-bound. We will always go back home.

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Pablo Neruda gives me consolation with these lines— “Ask me where I have been and I will tell you: “Things keep on happening.” I must talk of the rubble that darkens the stones; of the rivers duration; destroying itself; I know only of the things that the birds have abandoned or the ocean behind me; or my sorrowing sister. Why the distinctions of place? Why should day follow day? Why must the blackness of nighttime collect in our mouths? Why the dead?"

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There’s no forgetting for me because it’s too hard to speak and write in past tenses about people and places, the heart holds dear.
(in French and Italian)
Le SÉMINAIRE EST AU COEUR
Kristian S. Cordero

Plus je reste en dehors de du séminaire long, plus que j'ens vien à me rendre compte que se rappeler pas tout est utile à la vie. L'esprit a sa manière de trier quelles mémoires à garder, ce qui laissez aller et ce qui à oublier. Le coeur, d'autre part, valide nos attachements émotifs à la tapisserie des expériences que nous soigneusement et négligemment avons tissées au cours des années. C'est le coeur qui nous indique que si nous avons déjà passé et acceptons notre destin irremplaçable ou nous sommes encore hantés par le passé. Parfois la mémoire est trop douloureuse cela qui oublie devient une bénédiction. Mais comment pourrais j'oublier le séminaire et le nombreux peuple que j'ai rencontré dont l'amitié j'apprécie et aime toujours. N'oublie pas une réalité douloureuse aussi ? Ou est elle seulement mon esprit qui essaye d'oublier tandis que mon coeur se tient toujours sur mon passé qui est le ~ de séminaire Quand j'ai commencé par ma formation j'ai été présenté à d'autres jeunes hommes qu'à partir de ce temps dorénavant je devrais apprendre pour m'adresser à nous des frères. Il était obligatoire. On lui a exigé comme si par notre destin et foi. Les jeunes hommes que je n'avais jamais vus dans mes rêves enfantins mais toute la soudain, ils étaient là juste avant mes yeux. ~ En date de cette année, seulement peu ont continué leur formation. Après philosophie, d'autres ont classé un congé indéfini du séminaire tandis que la plupart d'entre nous a décidé de sortir pour de bon. Ils ont obtenu leurs premiers travaux et apprécient maintenant la consolation de leurs salaires d'abord dur-gagnés et minimaux. On a dit deux ont débarqué à un centre d'appel, je. On obtient loué à Dubaï. On a transféré à une communauté religieuse tandis qu'on sert sa régence. Deux prennent des études de loi et on est maintenant un "père" à une petite fille. Certains sont nulle part pour être trouvée. I, d'autre part, ont continué à tisser mes propres rêves.

Je crois que même si nous sommes maintenant disjoints par le même endroit qui nous avait toujours unis huit ans des il y a-chaque de nous porte dedans son coeur la mémoire du séminaire. Nos coeurs subissent sans interruption la formation. La formation est sans fin parce que nos coeurs ne connaissent aucun heure et espace. Le coeur humain est capable de défier des règles resserrées. Le séminaire est au coeur. Saint Augustine l'a exprimé en sa confession que le coeur est agité jusqu'à ce qu'il repos à Dieu. Nous pouvons avoir erré tandis que certains sont restés mais toutes les routes mènent à cet même endroit et tant pendant que nous gardons la mémoire de la maison, nous nous trouverons toujours à son ~ de seuils Quand je suis parti le séminaire I a pensé que ce serait l'extrémité de tout. J'étais en douleur. Chaque était comme une entaille du rasoir qui s'ajoute à ma longue histoire du saignement. J'ai essayé d'oublier. J'ai essayé d'oublier la couleur et le type mêmes de t-shirts et robe de polo qu'ils ont portée, leurs savons de bain préférés Heno de Pravia, sauvegarde ou zeste ou Dr. Wong Sulfur Soap d'Enrico de Toni Joe), aliments de préparation rapide préférés de lieux de visites (nouvelle Chine, STI, Chambre de Niño Mirandilla, Sañgay, Pasacao) (Kinalas (d'Armand's, quoi encore ?), leurs manières, leurs marques déposées, nos photographies, nos histoires, nos chansons, nos secrets. Mais de façon ou d'autre, je ne pourrais pas mais aller de nouveau à ma première expérience d'initiale d'acceptation, d'appui, de l'amitié et même de l'amour-ainsi cela pendant que je continue ma vie en dehors de des structures, je pourrais commencer un neuf au moins par art de l'auto-portrait-respect. Je pourrais continuer cette vie de formation m'offre. Maintenant que je vis ma vie en dehors de du séminaire que je suis venu pour croire que ce n'est pas le séminaire qui nous fait, ce n'est pas le séminaire qui nous forme, plutôt il est les personnes qui ont passés près, vécues ensemble dans cet endroit et faites lui leur maison qui permet au séminaire d'avoir une vraie et indélébile marque à chaque son coeur. J'ai toujours prisé mes mémoires de cet endroit et des personnes que j'avais rencontrées. Et quoique j'aie pris un autre chemin, je crois toujours que ce voyage que nous avons pris est toujours à la maison. Nous retournerons toujours à la maison.

Pablo Neruda me donne que la consolation avec ces lignes "me demandent où j'ai été et je vous dirai : les "choses continuent à se produire." Je dois parler de la blocaille qui obscurcit les pierres ; de la durée de fleuves ; se détruire ; Je sais seulement des choses que les oiseaux ont abandonnées ou de l'océan derrière moi ; ou mon soeur affligée. Pourquoi les distinctions de l'endroit ? Pourquoi le jour devrait-il suivre le jour ? Pourquoi la noirceur de la nuit doit-elle se rassembler en nos bouches ? Pourquoi les morts?" ~ Il n'y a aucun oublier pour moi parce qu'il est trop difficile de parler et écrire aux passés au sujet des personnes et des endroits, le coeur juge cher.
IL SEMINARY È NEL CUORE
Kristian S. Cordero

Più lungo rimango fuori del seminary, di più che vengo rendersi conto che non interamente ricordarsi sono utile a vita. La mente ha relativo senso scegliere che memorie da mantenere, che cosa lasci andare e che cosa da dimenticarsi. Il cuore, d'altra parte, convalida i nostri collegamenti impressionabili alla tappezzeria delle esperienze che abbiamo tessuto con attenzione e trascuratamente con gli anni. È il cuore che ci dice che se già abbiamo passato ed accettiamo il nostro destino irreplaceable o ancora siamo frequentati entro il passato. A volte la memoria è troppo dolorosa quello che si dimentica si transforma in in un blessing. Ma come potrei dimenticarsi il seminary e la molta gente che ho incontrato di cui l'amicizia ancora godo e sono. Non sta dimenticando una realtà dolorosa anche? O è soltanto la mia mente che prova a dimenticarsi mentre il mio cuore ancora tiene al mio passato che è il ~ del seminary. Quando ho cominciato con la mia formazione sono stato introdotto ad altri giovani che da quel tempo in poi dovrei imparare per parlarci i fratelli. Era obbligatorio. È stato affidato come se dal nostri destino e fede. I giovani quale non avevo visto mai nei miei sogni childish ma tutto l'improvviso, erano là a destra prima dei miei occhi. ~ A partire da questo anno, soltanto pochi hanno continuato la loro formazione. Dopo filosofia, altri hanno archiviato un permesso indefinito dal seminary mentre la maggior parte di noi hanno deciso uscire per la merce. Hanno ottenuto i loro primi lavori ed ora godono il consolation dei loro stipendi in primo luogo duro-guadagnati e minimi. Due hanno atterrato in un centro di chiamata, io si sono detti a. Uno ottiene assunto in Doubai. Uno ha trasferito ad una Comunità religiosa mentre una sta servendo il suo regency. Due stanno prendendo gli studi di legge ed uno ora è "un padre" ad una ragazza piccola. Alcuni sono in nessun posto essere trovati. I, d'altra parte, ha continuato a tessere i miei propri sogni. ~ Credo che anche se siamo ora sundered dallo stesso posto che li aveva uniti otto anni che fa-ogni di noi ancora trasporta dentro il suo cuore la memoria del seminary. I nostri cuori subiscono continuamente la formazione. La formazione è infinita perché i nostri cuori non conoscono tempo e spazio. Il cuore umano è capace di sfidare alle regole ristrette. Il seminary è nel cuore. San Augustine lo ha espresso nel suo confession che il cuore non è agitato fino a che esso resto unto il dio. Possiamo vagare mentre alcuni hanno rimasto ma tutte le strade conducono a quel stesso posto e per finchè manteniamo la memoria della sede, ci troveremo sempre al relativo ~ dei gradini della porta Quando ho andato il seminary I ha pensato che fosse l'estremità di tutto. Ero nel dolore. Ogni era come una scalfittura del rasoio che aggiunge alla mia storia lunga di spurgo. Ho provato a dimenticarsi. Ho provato a dimenticare il colore ed il tipo stessi di t-shirts e vestito che hanno portato, i loro saponi di bagno favoriti (Heno de Pravia, salvaguardia del Enrico o zest o Dott. Wong Sulfur Soap da polo di Toni Joe), alimenti a rapida preparazione favoriti dei hang-outs (nuova Cina, STI, Camera di Niño Mirandilla, Sañgay, Pasacao) (Kinalas del Armand, che altro?), i loro manierismo, i loro marchi, le nostre fotografie, le nostre storia, le nostre canzoni, i nostri segreti. Ma in qualche modo, non potrei ma andare di nuovo alla mia prima esperienza di iniziale in accettazione, di supporto, di amicizia e perfino di amore-così quello mentre continuo la mia vita fuori delle strutture, potrei cominciare un nuovo almeno con self-respect. Potrei continuare questa vita di formazione sto offrendo me. Ora che sto vivendo la mia vita fuori del seminary sono venuto credere che non sia il seminary che li faccia, non è il seminary che li formi, piuttosto esso è la gente che ha passato vicino, viva insieme in questo posto e resa esso la loro sede che permette che il seminary abbia un contrassegno reale ed indelebile in ogni suo cuore. Ho apprezzato sempre le mie memorie di questo posto e delle persone che avevo incontrato. Ed anche se ho preso un altro percorso, credo sempre che questo viaggio che abbiamo preso sia sempre home-bound. Andremo sempre indietro a casa. ~ Pablo Neruda lo dà che il consolation con queste linee "mi chiede dove sono stato e vi dirò: "le cose mantengono sull'accadere." Devo comunicare del rubble che scurisce le pietre; della durata dei fiumi; distruggerei; So soltanto delle cose che gli uccelli hanno abbandonato o dell'oceano dietro me; o la mia sorella afflitta. Perchè le distinzioni del posto? Perchè dovrebbe il giorno seguire il giorno? Perchè deve la nerezza della notte raccogliere nelle nostre bocche? Perchè i morti?" ~ Non ci è dimenticarsi per me perché è troppo duro da parlare e scrivere nei passati circa la gente ed i posti, il cuore giudica caro.

Monday, May 08, 2006

POPULAR CULTURE


We need superheroes....

RETRATO ASIN RAWITDAWIT



Sa pagsurat nin rawit-dawit/tula, mawot ko an pagdakop nin sarong eksena, sin sarong imahe na garo minapitik sana kan buton nin kamera dangan mahiling kong nagririlitong na an mga payo kan nakahiling/nakabasa/nakaintindi. Kun dai akong susuraton, kapot ko an kamera asin naghahanap ako nin mga imahe, idtong mga pinasipara na sana kan memorya. Enot akong natitikbahan sa mga ladawan na ini. Enot akong nagsusuriyaw sa kada pagtapos kan sarong akda. Asin siring kaidtong sarong tawo na nagdaralagan sa poblasyon na huba, minahali man ako sa tubig asin hinahanap an enot na tawong makagaw kaining gatol kan butlig ko sa payo.

Wednesday, May 03, 2006

KALAG KAN PARASURAT

Kun minsan minaabot sa sarong parusurat an katikapoan nin mga susuraton, idtong katakotan sa kun ano pa man an bago na pwedi kong suraton na dai pa naisurat. Bako daw an sinasabi ko pag-utro sana sa mga sinabi na kan nagkaerenot sa sako. May mga beses na inaatake ako nin kapagalan sa dai maaraman na rason. Idtong nawawaran ka nin sadiring kahulugan asin an mga bagay-bagay sa palibot mo. Kabaing ini sa kadaihan nin gana minsan kadakul pagkakan sa atubangan mo. May pamasahe ka alagad habo mong magbiyahe. Garo dai kang kalag, garo gadan an saimong kalag. Ano an kalag kan parasurat? Ano an kalag kan saiyang sinusurat kun igwa man ini? An mga kahapotan na ini an sakuyang pigtutungkosan ngonyan na mga aldaw. Mga kahapotan na sa ngapit mahahanapan ko nin kasimbagan na magiging kahapotan man giraray.

Sa sarong parasurat, kaipuhan an pag-ako niya nin sarong katungdan asin sabihon tan ang pangapodan man ini minsan bakong malinaw kun siisay o saen an hali an pangapodan. An pagsurat sarong paghiras sa pagmukna o pagraot kan mga luma asin suanoy na kaisipan asin pagbilog nin mga bagong kadunongan na magigin panaw’awan kan nag-aaging henerasyon. Daing pirak sa pagsurat sabi kan kadaklan, alagad nagpapadagos an parasurat sa pagtuklas asin paghimo kan saiyang arte nin huli ta bako man pirak an saiyang hanap. Orog pa sa pagkasabot kan kinaban na ini an pagmate kan paghimo nin sarong obra, sarong pagbiklad kan kalag asin paglapigot kaini na maipasabot an kairaroman kan saiyang buot. Dakul sa sakuyang mga pigmidbid na marhay na parasurat an naghingowa na magsurat kan mga bagay mapapadapit sa kalag, sa mga bagay na katal sa kinaban asin may paghiling sa kun ano pa an yaon duman, apwera kan mga nahihiling kan mata, mga parasurat na pagkatapos na pulidohon an saindang mga pagmati asin sentido, nagpahayag asin nagsurat nin mga bagay na nakagamut sa puso kan tawo, sa saiyang pagmawot na masabotan an kamurawayan, an rason kan saiyang mga ginigibo, an kusog kan buot, an pagkamoot, an kalag. Nasa listahan ko si Rilke, John Donne, Nikos Kazantzakis, Teresa de Avila, Nietzsche, Gregorio Brilliantes, Gilda Cordero-Fernando, Rio Alma, Rebecca Anoñuevo, Benilda Santos, Albert Alejo, SJ, Allan Popa asin kadakul pang iba. Minaabot sa panahon nin sarong parasurat na hanapon an kahulugan kan labi pa sa mga bagay na saiyang hinihiling. Nagsusurat kita sa panibagong paagi nin paghiling sa mga itinagamang pagsabot. Nilalampasan an struktura kan pigmuknang relihiyon asin nagtatao nin sadiring eksperinsya, kan kalag asin Kagurangnan.

Uni an sarong rawitdawit na sinurat ko na may titulong Pamibi, sarong paghingowa asin paghiras. Kun minapamibi ako /garo ako kandila na susuloan /asin pipiriton na patindogon/sa patag na gapo./Aaminon ko na nakakamati ako/nin kapaabaw-abawan sa pagpamibi/idtong pagmati na garo iba /akong makiolay sa Dios asin iba/man niya akong kaolayon,/may kaogmahan man ining dinadara/sabay an pagtubod asin pagduwa-duwa./Minsan, nagpapamibi akong garo/kaolay ko sana man an sadiri,/na garo solong kandilang naglalaad—/luhay-luhay sa paghorop-horop/sa atubangan kan Kagurangnan/sagkod na an gapo, an mitsa, an kalayo/an duros, an dios magkasaro sa sako/asin binabayaan akong dai ko aram/an sakuyang sadiri kun ano baga ako/kun tawong bu’a o lipod, salampati,/toreng garing o bakong tapos na rawitdawit.

Bisitahon an blog ko www.santigwar.blogspot.com o magemail sa boronyog@ yahoo.com